J-01 – Euraénergie, parc d’innovation au services des entreprises et de l’emploi local.

A l’occasion des Assises Européennes de la Transition Energétique à Dunkerque, la Communauté Urbaine de Dunkerque a officiellement lancé en 2016, avec le soutien du Pôle Energie 2020 et de la Région des Hauts-de-France, le site d’innovation Euraénergie.

 

Pleinement inscrit dans les axes de développement définis lors des États généraux de l’emploi local (EGEL), ce parc d’innovation concourt au développement de la plateforme énergétique dunkerquoise de dimension européenne. Il incarne la volonté de promouvoir un développement économique fort, dans le cadre de la troisième révolution industrielle, et de développer la filière des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.

Susciter des innovations, créer des partenariats entre les porteurs de projets, les entreprises, les universités et les laboratoires, valoriser le potentiel local et régional, proposer des formations adaptées à la filière… voici quelques-unes des missions aux acteurs locaux et aux partenaires. Pour atteindre ces objectifs ambitieux, la force d’Euraénergie réside dans son réseau de partenaires (Universités, laboratoires, start-up, grandes entreprises du domaine de l’industrie ou de l’énergie) sur des axes précis comme l’hydrogène, les réseaux multi-fluides, le froid, l’efficacité énergétique et, bien sûr, les énergies renouvelables.

Au travers de la Fabrique des compétences et du Campus Euraénergie qui traitent spécifiquement des problématiques d’emploi et de formation, le parc a pour mission de communiquer et mobiliser les primo accédant, les demandeurs d’emploi et les salariés à la transformation des métiers liés à l’industrie et à l’énergie, au développement de nouvelles filières liées aux énergies renouvelables et aux nouveaux moyens d’information à imaginer pour toucher le plus grand nombre.

Retrouvez-nous et venez contribuer aux débats dans l’atelier n°4 intitulé « L’innovation et la formation, deux accélérateurs de la transition énergétique ». De nombreux intervenants du champ de l’emploi et de la formation viendront apporter leur éclairage sur des expérimentations menées et sur le pistes de travail à ouvrir dans les prochains mois.

J-02 – François Ducorney, VOLT

VOLT, des économies d’énergie sans investissement

VOLT est une jeune entreprise dunkerquoise qui permet aux professionnels de faire des économies d’énergie sans investissement. Plutôt que de vendre du matériel ultra performant en énergie, VOLT met à la disposition de ses clients ce même matériel sur des durées de 3 à 7 ans sans investissement initial. VOLT se rémunère uniquement au résultat, à savoir les kwh économisés mesurés par un compteur dédié qui compare la consommation avant et après la pose du matériel de VOLT.

Le client gagne de l’argent dès le premier jour du contrat car le kwh économisé est moins cher que l’électricité. VOLT travaille sur l’éclairage, l’air comprimé et le froid.

 

Pour plus d’informations, vous pouvez contacter François Ducorney à l’adresse fducorney@volt.solutions ou par téléphone au 06.51.14.80.11

J-03 – Karine Top, infirmière au collège Lucie Aubrac

Sensibiliser les enfants, les jeunes et leurs familles à une alimentation durable à partir d’un projet d’éducation « Alimentation et Activité physique…. ». Une démarche en transition.

 

Le projet « Manger, bouger, choisir de faire et de partager dans le plaisir pour notre santé ! »  porté par le collège Lucie Aubrac, son réseau et ses partenaires des quartiers politique de la Ville est né il y a dix ans suite aux constats de santé qui inquiétaient les professionnels de santé.

 

Pour durer il lui a fallu patienter, s’interroger, s’adapter et se renouveler, coopérer… La simplicité et l’ambition a permis en douceur son intégration dans le paysage des actions de santé et de citoyenneté des élèves de la maternelle jusqu’à l’entrée au Lycée.

 

 

Actions qui ont lieu tout au long de l’année, sur différents lieux de vie sous forme d’ateliers et qui se prolongent dans le quotidien de ces mêmes lieux : « on décide de mettre en pratique ce que l’on apprend ou pas …. en concertation ». La démarche se poursuit en effet dans les Maisons de Quartier de l’ADUGES,  sur les temps de loisirs.

 

Un Agenda 21 est expérimenté au Collège depuis 5 ans favorisant les temps de débats avec tous et permettant à la démarche d’aller plus loin : travail de réseau, réflexion  plus globale et communication vers les familles.

 

Concrètement par exemple, les dégustations ou collations des écoles et collège ont toujours proposé  des aliments issus de l’agriculture biologique et locale. De fait, et au delà des objectifs de santé, nous sensibilisions à l’alimentation durable. La sensibilisation se poursuit en lien avec les programmes scolaires dans la transversalité avec comme outil pédagogique, les jardins.

 

La thématique est passionnante pour développer l’esprit critique, la responsabilisation individuelle et collective en plus de celle de grandir et de devenir adulte.

 

Pour autant les changements sont fragiles, l’intérêt à agir pour demain dès à présent pas toujours évident pour un jeune, les intentions ont besoins d’être encouragées, les personnes relais motivées, les objectifs réaffirmés en fonction des moyens.

 

 

Pour en savoir plus sur ce programme, vous pouvez contacter le Collège Lucie Aubrac au 03.28.24.01.23 ou contacter directement Karine Top sur son adresse top.karine@wanadoo.fr

J-04 – AFEJI

A Portée de Main, Les Jardins de Cocagne des Hauts de Flandre : du Bio, du local de Saison pour l’emploi.

 

Les Jardins de Cocagne des Hauts de Flandre, ont pour objet de favoriser l’insertion sociale et professionnelle de personnes en difficultés par le maraîchage biologique.

 

Quarante salariés en parcours d’insertion œuvrent à l’activité de : production, conditionnement, livraison et vente. Notre Atelier

et Chantier d’insertion de l’association AFEJI, cultive 12 hectares de fruits et légumes biologiques toute l’année sur 3 sites (Leffrinckoucke, Gravelines et Loon-Plage), que nous proposons sous forme de paniers hebdomadaires , en vente directe à la ferme de Leffrinckoucke , dans notre magasin A Portée de Main à Téteghem et dans notre Bio camion.

Les Jardins de Cocagne des Hauts de Flandre, situés sur le littoral du Département du Nord (Communauté Urbaine de Dunkerque-CUD) ont été créés en 2000. D’une surface de 12 ha de maraîchage biologique, les jardins sont le premier producteur de légumes bio sur le territoire.

 

Véritable acteur de la transition écologique, nous souhaitons développer un  Laboratoire de Transformation Alimentaire et  un Centre de Logistique éco-responsable

Nous ambitionnons de répondre aux engagements politiques, annoncé par le président de la CUD aux EGEL 2018 : d’un approvisionnement 100% bio local des cantines du territoire en 2022 par :

–  le développement de l’activité de transformation pour répondre aux besoins de la restauration collective et des habitants du territoire : préparation de légumes bio made in Flandre (Flandre maritime et intérieure) : cuits sous vide, surgelés + micro-conserverie solidaire (lutte contre le gaspillage alimentaire : récupération des invendus des magasins, transformation et redistribution  aux associations locales d’aide alimentaire).

– la création d’un centre logistique (lieu de stockage collectif) pour l’ensemble des produits biologiques issus de la Flandre à destination des cantines, des restaurants …

Objectifs à terme :

– Approvisionner en 100% bio local les cantines scolaires et les habitants de la Flandre, en lien avec les engagements des politiques locales.

– Participer à la Structuration de la filière agricole, pour une augmentation de la surface agricole biologique sur le territoire.

– Formation de chômeurs longue durée à des emplois locaux non délocalisables (maraîchage bio, transformation et logistique) : Notre jardin de Cocagne avec ses 18 ans d’expérience en maraîchage bio continueront à former des chômeurs de longue durée pour pallier au manque de main d’œuvre des agriculteurs en conversion. Le développement de la filière bio locale générera des emplois périphériques en logistique et transformation, ainsi notre activité sera un tremplin vers un emploi durable non-délocalisable.

– Éducation alimentaire dans les écoles (lutte contre la gaspillage et sensibilisation à l’alimentation bio locale et de saison, accompagnement des cantines à la transition alimentaire bio locale.

– Un écolieu pédagogique « transition écologique de la zone industrielle de Grande-Synthe » : création de jardins nourriciers dans les entreprises locales, mise en place d’ateliers pédagogiques autour de l’alimentation et du jardinage sur le site, organisation de visites pour les porteurs de projets en vue d’essaimage.

J-05 – Jonathan Malbranque, Directeur de l’agence Adecco de Dunkerque

En lien avec la transformation écologique, économique et énergétique, l’emploi se transformera. Le groupe Adecco prépare aujourd’hui l’emploi de demain.   

 

The Adecco Group, leader mondial des solutions en ressources humaines, est présent sur les 5 continents et sur plus de 60 pays et territoires.
En France, The Adecco Group est un acteur engagé pour développer l’emploi durable et la mise à l’emploi des personnes fragilisées à travers en particulier :

  • Le placement en travail temporaire mais également en CDD et CDI
  • Le développement du CDI intérimaire et de l’alternance
  • Le conseil, la formation et l’externalisation
  • L’intérim d’insertion avec le Réseau Adecco Insertion ; plus grand réseau de France
  • Le monde de l’emploi est en pleine transformation.
  • Les transformations écologiques, économiques et sociales sculpteront l’emploi de demain.

C’est la raison pour laquelle The Adecco Group souhaite s’engager et être acteur de ces changements.

L’ancrage Dunkerquois du groupe a donc rapidement été séduit par le projet TIGA et a par conséquent signé, par l’intermédiaire de notre président Christophe CATOIR, une lettre d’intention.

Créons ensemble dès aujourd’hui, l’emploi nouvelle génération ! Pour cela, nous avons besoin de vous, vous les acteurs du territoire Dunkerquois.

Ce forum de la transition sera pour nous l’occasion de partager avec vous nos différents projets en lien avec ces transformations. Ce sera aussi et surtout l’occasion pour nous d’échanger avec vous et de récolter votre vision de l’emploi nouvelle génération.

 

Retrouvez-les sur…

Leur site :  http://www.groupe-adecco.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/theadeccogroupfrance/

Twitter : https://twitter.com/AdeccoGroupFR

LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/TheAdeccoGroup/

Instagram : https://www.instagram.com/adeccogroupfr/

Snapchat : https://www.snapchat.com/add/adeccofrance

 

J-06 – Isabelle ROBERT, Université de Lille, IMMD, Laboratoire MERCUR

La mise en place d’un système alimentaire local : Facteurs clés de succès, freins et évaluation des bénéfices sociétaux

De nombreuses recherches portant sur l’agriculture urbaine et les systèmes alimentaires locaux mettent en lumière l’aspect multifonctionnel que ces activités génèrent pour une ville tant au niveau de l’insertion sociale, de l’environnement, des loisirs, de l’éducation, de l’aménagement urbain … (Perrin et al, 2017). L’analyse de 17 entretiens menés auprès des parties prenantes de la future ferme urbaine de Grande Synthe font ressortir pleinement cette caractéristique multifonctionnelle déclinée autour de six grandes catégories : lieu d’approvisionnement alimentaire pour le territoire, d’expérimentation de nouvelles techniques agricoles, lieu de divertissement, centre de formation, de ressources et d’aide aux maraichers, lieu d’insertion sociale et centre pédagogique et de sensibilisation destiné aux habitants. Cependant cet aspect multifonctionnel soulève des questions qui méritent d’être approfondies afin d’éviter de transformer cet atout en frein ou limite à son déploiement.

Premièrement, il s’avère nécessaire de s’interroger sur la compatibilité entre la durabilité territoriale produite par les externalités positives issues de l’activité agricole (durabilité externe) et la durabilité interne de l’exploitation (Ba et Aubry, 2011). Pour y parvenir, il convient de choisir la ou les principales clés d’entrée du système alimentaire permettant d’assurer une viabilité économique et de construire pas à pas l’écosystème permettant à terme d’embrasser les différentes fonctions.

Deuxièmement, la construction de l’écosystème et plus précisément du réseau de parties prenantes du système alimentaire local nécessite également de s’interroger à la fois sur le choix des acteurs et plus particulièrement des acteurs ressources, des acteurs relais mais également sur la nature des coopérations entre acteurs. Dans cette même logique, la cible prioritaire visée par le système alimentaire local doit être clairement explicitée. Les récentes recherches sur les circuits courts menées par Chiffoleau et Paturel en 2016 démontrent que ces derniers sont une nouvelle source d’exclusion sociale. Ces conclusions nous amènent à nous interroger sur la conciliation entre système alimentaire local et innovation sociale.

Troisièmement, la multifonctionnalité soulève également la question de l’évaluation des bénéfices sociétaux et territoriaux issus du système alimentaire local et de leur priorisation. La co-construction d’indicateurs clés avec les parties prenantes pourrait s’inspirer des méthodes d’évaluation basées sur l’analyse du cycle de vie environnemental, social ou territorial.

 

 

Pour contacter Isabelle Robert, vous pouvez lui envoyer un mail à l’adresse isabelle.robert-2@université-lille2.fr

Isabelle Robert, Maître de Conférences en sciences de gestion à l’Université de Lille, docteur en sciences économiques est membre du laboratoire de recherche LSMRC/MERCUR depuis 2008. Après avoir structuré ses activités de recherche autour de deux axes : la consommation responsable et la responsabilité sociale des organisations, ses travaux se concentrent aujourd’hui sur les nouveaux business models soutenables. Elle explore plus précisément les liens entre externalités, création de valeur sociétale, écosystèmes et analyse du cycle de vie. Ses recherches sur les modèles économiques  soutenables portent principalement sur  l’alimentation et le textile.

J-07 – Association Eco-Chalet et Collectif « En Rue »

Avec l’association Eco-Chalet, nous créons du lien social autour de la question environnementale notamment par des actions de recyclage et la valorisation de matériaux de récupération. Venez découvrir notre projet citoyen « En Rue » !

En Rue est un projet qui se veut à la fois social, urbain, culturel et artistique ; il prend la forme d’un atelier des savoir-faire de chacun, à partir du réemploi des matériaux et objets urbains déclassés (par les collectivités). Ce projet prend sa source dans les espaces publics des résidences Guynemer et Jean Bart à Saint Pol Sur Mer (quartier situé en politique de la ville). Il vise à répondre aux besoins exprimés des habitants d’agir eux même sur leur environnement en aménageant les espaces publics afin de favoriser le lien social, l’attractivité des résidences Jean Bart / Guynemer (quartier Ouest de la commune de Saint Pol Sur Mer), le quartier Degroote (commune de Téteghem). Il s’agit de lutter contre l’image dévalorisante dont le quartier et surtout ses habitants pâtissent.

Pour en savoir plus sur le Collectif « En Rue », vous pouvez consulter les articles de la Voix du Nord à leur sujet (ici et ), ou le Journal de la Ville de St Pol sur mer (page 8) !

Et pour rencontrer le collectif et rejoindre l’aventure, vous pouvez les contacter à l’adresse de leur association : ecochalet59@gmail.com

 

 

 

 

J-08 – FACE Flandre Maritime, animateur de la Charte Entreprise & Quartier.

La Fondation FACE a été créée en 1993 par 13 grands Groupes français réunis à l’initiative de Martine Aubry. L’objectif est de mobiliser des entreprises sur les territoires afin de faciliter l’insertion par l’emploi, de favoriser l’innovation sociale et d’apporter un soutien actif à des initiatives locales de lutte contre les exclusions.  Elle est Reconnue d’Utilité Publique le 20 février 1994.

Créée en 2004,  le club Face Flandre Maritime compte une équipe de 9 personnes et est basé à Grande-Synthe. Elle déploie ses activités sur 4 communautés de communes, la Communauté urbaine de Dunkerque, la Communauté de Communes des Hauts de Flandre, la Communauté de communes de Flandre intérieure et la Flandre Lys.

 

La Charte Entreprises & Quartiers a été lancée en juin 2013 par le Ministre de la Ville et les Présidents des Réseaux FACE, CREPI et IMS qui accompagnent et animent la démarche.

La Charte Entreprises & Quartiers a vocation à favoriser l’engagement des entreprises en faveur des nouveaux territoires prioritaires de la Politique de la Ville et de leurs habitants, dans six champs d’actions prioritaires : L’éducation et l’orientation scolaire ; L’emploi, l’insertion et la formation ; Le développement économique ; Les services de proximité, l’accessibilité aux produits et services de l’entreprise ;  Le soutien aux initiatives locales, le mécénat de solidarité ; La participation à la création et au développement de la Fondation « Quartiers ».

 

 

Coordonnées club FACE Flandre Maritime :

Stéphanie CARON , Directrice

18 Place François Mitterrand,

59760 Grande-Synthe

s.caron@fondationface.org

07.86.04.43.87 / 03.28.24.99.12

 

Site de la Fondation : https://www.fondationface.org

Page FACEBOOK : https://www.facebook.com/FondationFACE/

 

J-09 – Bois Environnement Services (B.E.S.)

La plateforme de récupération et de recyclage du bois de B.E.S. : Une transition écologique et solidaire, au service de l’économie circulaire de la région dunkerquoise.

 

Avec B.E.S., rien ne se perd et tout se transforme !

 

Acteur de l’économie circulaire depuis 1999, la SCOP B.E.S., acteur de la filière bois de la plantation à la valorisation des déchets, est à l’initiative de la création de la plateforme de récupération et de recyclage du bois.

La matière première issue de l’élagage et de l’abattage est trié au sein de la plateforme, ainsi que les déchets bois, collectés auprès des industriels et de la grande distribution. Ensuite, l’ensemble est valorisée dans le circuit pour la production de meubles, matériaux de construction, combustibles, palettes… ou elle est rendue à la biomasse afin d’enrichir la terre pour la plantation de nouveaux arbres.

Ce Forum de la transition doit permettre à B.E.S. de faire connaitre sa plateforme et de s’affirmer comme l’un des piliers de l’économie circulaire du dunkerquois.

 

Particuliers, retrouvez les sur www.bois-energie-dunkerque.fr/ !

Professionnels, retrouvez-les sur www.bes-industrie.fr/ !

J-10 – L’Atelier, université populaire de Grande-Synthe

Offrir aux citoyens un accès à des savoirs et à des savoir-faire alternatifs pour leur permettre de s’émanciper de la société de consommation et s’engager dans une démarche de transition, c’est l’un des enjeux de l’Atelier, structure municipale d’éducation populaire. 

La ville de Grande-Synthe est engagée dans une politique volontariste pour développer l’autonomie alimentaire, un des piliers de la transition écologique. L’Atelier, université populaire participe à cet effort de réappropriation de son alimentation avec la création de six jardins partagés en pied d’immeuble, qui permettent à des habitants de la ville d’avoir accès à une parcelle pour cultiver des légumes et des fruits en utilisant les méthodes de l’agroécologie. Une banque de semences paysannes complète cette initiative, et permet de défendre la diversité du vivant et de lutter contre le monopole des multinationales de la semence.

L’équipe de l’université populaire développe également toute une série d’ateliers pour permettre aux habitants de se réapproprier des savoirs essentiels , comme l’utilisation des plantes médicinales pour soigner les maux du quotidien, la fabrication de produits d’hygiène et d’entretien sans produits chimiques, ou la préparation et la cuisson du pain au four traditionnel.

 

L’Atelier, université populaire est ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à11h50 et de 13h30 à 17h30.

 

Maison écologique 156 Av. de Petite-Synthe,

E-mail: latelier@ville-grande-synthe.fr,

tél. 03 28 29 17 63.